bojh78

A quelques kilomètres du bureau il y a un stade entouré par un bois avec un grand parking, lieu de rencontre bien connu et frequenté, avec un peu de patience on ne vient jamais pour rien.

Ce jour la personne d'autre j'attends un peu et me dirige tout de même à la lisière du bois pour voir qui arrive et être vu si besoin.

Sans perdre trop de temps une voiture arrive, en descend un mec que j'ai dejà croisé la bas, j'ai de la chance  il a vraiment une très grosse queue, je m'arrange alors pour qu'il voit qu'il y a du monde.

Sur le chemin je le laisse me depasser et lui emboite le pas, une fois plus à l'abri, il ouvre son froc et se crasse a travers son slip.

Je m'approche rapidement, dejà l'eau à la bouche de savourer son morceau qui rempli bien le slip noire, je le carresse et le baisse rapide et aussitot agenouillé devant lui je pompe son chibre encore au repos.

Quel plaisir de le sentir gonfler petit a petit j'en profite pour le gober jusqu'au couille et ça fait son effet, il gemit beaucoup ce mec, très demonstratif, mais rapidement je ne peux plus l'engloutir sa queue est trop longue et epaisse.

Pendant que je le suce avec appetit je me branle energiquement.

Il me fait remonter pour pouvoir me sucer lui aussi.

Autant sa queue est bonne a sucer, autant ses qualité de pompeur sont médiocre pourtant il a l'air d'aimer ça, mais sa pression ses mouvements trop rapides et ses dents gachent un peu le plaisir, je n'ai qu'une envie qu'il me remplisse la bouche de son engin encore et encore.

Après quelques alternances de suces mutuelles je suis excité et j'ai envie de jouir, il l'a remarqué et descend sur ma queue, je me branle dans sa bouche, il veut mon jus, je lui en donne une bonne quantité il se retire avant la fin recrache et revient prendre ce qui reste sur mon gland, il me nettoye avec sa bouche et un mouchoir, il a aussi envie de jouir me demande si je veux faire pareil, et la un fois joui il faut bien l'avouer cette envie n'est plus présente, je le regarde envoyer de beaux jets de sperme dans la nature.

On se quitte poliment en esperant se recroiser la un jour.